"La Folle Blanche" - Pièce Unique Millésime 2012 - Édition Limitée 711 Bouteilles

Prix de vente€110,00 Prix normal€120,00

Folle-Blanche 100%, 2012-2024, Domaine de Saoubis,  48 %, 500ml, Brût de fût, CASK#138, Biodynamique et Bio (Demeter & AB), Limitée à 711 Bouteilles

  • Brut de fût à 48 %, vieilli 13 ans sans ouillage ni réduction
  • Issu du seul domaine en biodynamie du Bas-Armagnac (certifié Demeter & AB)
  • Raisins cultivés sans intrants chimiques, vinification naturelle, distillation à feu doux
  • Édition ultra-limitée à 705 bouteilles;
  • Sélectionnée personnellement par Maurice de Mandelaëre, vigneron pionnier
  • Aucune réédition. Une seule barrique. Une seule chance de la goûter.

Déjà sur les plus belles tables.

ET BIENTÔT SUR LA VOTRE.

Approuvé par les pros.

Rejoignez la résistance du terroir !

La France du goût disparaît sous nos yeux.
En 30 ans, deux tiers des domaines d’Armagnac se sont éteints.
Des gestes oubliés. Des savoirs effacés. Des terroirs livrés à l’indifférence.

Et pourtant… certains refusent d’abandonner.
Dans un petit chai du Bas-Armagnac, Maurice de Mandelaëre, 80 ans, continue à distiller à l’ancienne.
Sans chimie. Sans compromis.
Selon les principes stricts de la biodynamie le seul à le faire dans tout l’Armagnac.

Découvrez son histoire…

Le dernier pourcent

La Folle Blanche, c'est le fantôme du vignoble gascon.

Avant le phylloxéra, elle régnait seule. On l'appelait "Picpoul" ou "Enrageat" — parce qu'elle rendait fou celui qui tentait de la cultiver. Fragile, capricieuse, imprévisible... mais sublime.

Elle donnait les plus grands Armagnacs. Les plus purs. Les plus aériens.

Puis tout s'est effondré. Le phylloxéra l'a ravagée. Et quand il a fallu replanter, on a choisi plus robuste, plus rentable. L'Ugni Blanc a pris sa place. La Folle Blanche a presque disparu.

Aujourd'hui, elle ne représente plus que 1% du vignoble.

Maurice, lui, n'a jamais cessé d'y croire. Il a gardé ses rangs. Par entêtement. Par respect pour ce qui a fait la grandeur de l'Armagnac.

Sa Folle Blanche 2012, vieillie 13 ans en fût de chêne sec, est une pièce de collection vivante : tendue, florale, d'une finesse presque irréelle.

711 bouteilles. Pas une de plus.

Quand elles seront parties, ce sera fini.

Un goût de "reviens-y"

Nez : Dès l’ouverture, une explosion de fraîcheur avec des notes de fleur d’oranger et de zestes de citron confit. Des nuances subtiles depoire pochée et de pomme granny-smith se mêlent à une pointe épicée de poivre blanc et de gingembre frais. L’ensemble est délicatement souligné par une touche d’amande amère et de miel de bruyère.

Palais: L’attaque est vive et élégante, dévoilant une structure tout enfinesse. Les agrumes confits se fondent avec des saveurs gourmandes de madeleine au beurre et de pâte d’amande. Une pointe de menthe poivrée et de thé vert apporte une dimension fraîche et herbacée, tandis que le milieu de bouche révèle des notes plus profondes de vanille bourbon et de bois noble.

Finale : Une finale longue et poétique, marquée par des arômes de fleurs séchées, de poivre long et une légère sensation de minéralité calcaire. L’écho des agrumes et de la vanille laisse une empreinte élégante et persistante.

Les trois vérités qui font toute la différence.

01

711 flacons - et pas un de plus.

Une seule barrique, sélectionnée par Hootch & Maurice de Mandelaëre dans le chai du domaine de Saoubis.
Pas une cuvée, pas une production annuelle.
Un moment précis, capturé dans le temps.

Chaque bouteille est unique. Quand la dernière sera ouverte, il n’en restera plus une seule. Pas de réédition. Pas de seconde mise. Juste le souvenir d’un goût qu’on ne reverra plus.

02

Affiné 13 ans sans ouillage ni réduction.

Treize ans de vieillissement, sans ouillage, sans réduction, sans tricherie.

L’évaporation naturelle a fait son œuvre, concentrant les arômes, sculptant la matière.

Ce que vous dégustez, c’est l’expression brute du millésime 2012, un équilibre rare entre puissance, finesse et longueur.

03

3. Le seul Armagnac en biodynamie.

Maurice cultive ses vignes sans aucun intrant chimique, ni pesticide, ni sulfite ajouté.
Il travaille la terre avec le calendrier lunaire, nourrit le sol avec des préparations naturelles, et laisse la nature reprendre ses droits.

C’est un choix coûteux.
Ses rendements se sont effondrés.
Mais le goût, lui, a pris une dimension que la modernité ne sait plus produire.

Un Armagnac vivant. Authentique. Indomptable.

01

711 flacons - et pas un de plus.

Une seule barrique, sélectionnée par Hootch & Maurice de Mandelaëre dans le chai du domaine de Saoubis.
Pas une cuvée, pas une production annuelle.
Un moment précis, capturé dans le temps.

Chaque bouteille est unique. Quand la dernière sera ouverte, il n’en restera plus une seule. Pas de réédition. Pas de seconde mise. Juste le souvenir d’un goût qu’on ne reverra plus.

02

Affiné 13 ans sans ouillage ni réduction.

Treize ans de vieillissement, sans ouillage, sans réduction, sans tricherie.

L’évaporation naturelle a fait son œuvre, concentrant les arômes, sculptant la matière.

Ce que vous dégustez, c’est l’expression brute du millésime 2012, un équilibre rare entre puissance, finesse et longueur.

03

3. Le seul Armagnac en biodynamie.

Maurice cultive ses vignes sans aucun intrant chimique, ni pesticide, ni sulfite ajouté.
Il travaille la terre avec le calendrier lunaire, nourrit le sol avec des préparations naturelles, et laisse la nature reprendre ses droits.

C’est un choix coûteux.
Ses rendements se sont effondrés.
Mais le goût, lui, a pris une dimension que la modernité ne sait plus produire.

Un Armagnac vivant. Authentique. Indomptable.

Maurice de Mandelaëre. Le dernier résistant du Bas-Armagnac.

Il a plus de 80 ans.
Et quand il parle de sa vigne, sa voix tremble autant que ses mains.

Il a grandi sur ce même domaine, celui de Saoubis, transmis de génération en génération.
Formé auprès des maîtres de la Romanée-Conti, il aurait pu suivre la voie de la facilité.
Mais il a choisi la voie du vivant.

La biodynamie, à l’époque, on la prenait pour une folie.
Les rendements s’effondraient.
Ses voisins le regardaient comme un rêveur.
Mais lui, il savait.

“Ce que la nature me prend en volume,
elle me rend en vérité.”

Ses raisins, cueillis à la main, fermentent sans additifs.
Son vin est distillé à feu doux, dans un alambic armagnacais chauffé au bois.
Puis vieilli quatorze longues années dans des fûts de chêne, sans ouillage ni correction.

Résultat : un Armagnac qui parle. Un goût qui ne ressemble à rien d’autre. Une mémoire liquide de la terre gasconne.

Et quand il a ouvert cette barrique, celle du Baco 2011, il a su qu’elle ne ressemblait à aucune autre. Pas la plus puissante. Pas la plus flatteuse. Mais celle qui racontait une histoire.

L’art de vivre selon Maurice.

 Un Armagnac ne se boit pas. Il se partage.

01 — Attendez le moment parfait.

Après un dîner.
Autour d’une table où les rires se calment, où les regards se croisent.
C’est le moment où l’on se tait un peu pour écouter.
C’est là que le Baco se révèle : un Armagnac de fin de soirée, de confidences, de silence habité.

02 — Servez et laissez respirer.

Versez dans un verre tulipe ou un simple verre à vin, à température ambiante.
Laissez-le quelques minutes : l’air ouvre la mémoire du millésime.
Sous le nez, d’abord le sous-bois, les fruits secs, la tarte tatin.
Puis viennent la réglisse, la cannelle, l’abricot confit.

03 — Observez.

La robe ambrée, les reflets dorés, les larmes épaisses.
Chaque détail raconte le temps qui passe.
Quatorze années d’attente pour une seule gorgée d’équilibre.

04 — Goûtez.

Une attaque franche, presque sauvage, puis la douceur du raisin confit.
Les épices s’étirent, le fruit persiste, et la finale s’allonge, interminable.
Un goût pur, sans triche, sans filtre.

05 — Partagez.

Un Armagnac comme celui-là n’existe que dans l’instant.
Chaque bouteille ouverte est un acte de transmission.
Ce n’est pas un simple digestif: c’est une mémoire liquide de la terre gasconne.

La résistance continue !

La modernité a voulu faire du goût un produit.
Mesurable, standardisé, rentable.

Mais le goût, le vrai, ne se met pas en barème.
Il se transmet, il se défend, il se partage.

Chaque flacon du Baco 2011 est un acte de résistance :
contre l’oubli, contre l’indifférence, contre le bruit.
Une bouteille née du silence, du temps, et du travail d’un homme qui n’a jamais triché.

Nous ne sommes pas là pour séduire.
Nous sommes là pour préserver.
Pour que cette France du goût, celle des gestes rares et des terres vivantes,
ne disparaisse pas sans témoin.

Rejoignez la Résistance du Goût.

Parce qu’un monde sans artisans, c’est un monde sans âme.

→ Découvrir La Folle Blanche — Pièce unique d’exception

Vous avez des questions ?

On y répond.

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